La deuxième saison de l’ère MoTec doit représenter le « in or out » pour la relance de la CIV Superbike. Quelque chose bouge entre les retours bienvenus et les entrées de portée internationale qui pourraient inclure Lorenzo Savadori, Randy Krummenacher et Bradley Smith
Il est inutile de se cacher derrière un doigt, depuis maintenant quatre années abondantes, la CIV Superbike a enregistré une baisse notable en termes d’abonnés. Diverses raisons en sont la cause, notamment d’ordre économique, un facteur qui a culminé l’an dernier avec la présence de seulement dix motos lors de la course finale à Vallelunga et qui a souvent fait passer le verdict de la piste au second plan. Si qualitativement parlant il n’a jamais été remis en cause, malgré une infinité « Pousser et tirer », l’introduction récente de l’unité de contrôle unique MoTec avait pour objectif clair d’égaliser les performances et par conséquent de revigorer le parc de démarreurs. Bien que 2021 ait fourni au moins une saison de rodage consciencieuse, l’année suivante est proposée comme l’année définitive « dedans ou dehors » dans laquelle une nouvelle grille rognée du point de vue numérique serait synonyme de débâcle absolue. Tout le mal ne vient pas au mal et quelque chose de positif se déplace enfin entre les retours bienvenus et les entrées internationales, parce qu’une Superbike CIV fonctionnelle apporterait une nouvelle vie à l’ensemble du mouvement moto italien. Avec le calendrier déjà publié (démarrage prévu pour les 2-3 avril à côté de Misano, QUI la pièce), sur la base des rumeurs recueillies il y a une augmentation conforme aux ambitions du FMI (18-20 unités), un quota de départ adéquat représentant sept des principaux constructeurs du calibre de Ducati, Honda, Aprilia, Yamaha , Kawasaki, BMW et Suzuki.
Ducati – Pyrrhus la référence, attention aux sirènes françaises
Goûté pour la cinquième fois de sa carrière au goût du drapeau italien après l’année la plus compliquée de tous les temps, à l’exception des cataclysmes Michèle Pirro sera toujours la pierre angulaire du projet Ducati en Équipe de course Barni. La scène a été monopolisée grâce à l’étonnante liste de 11 succès sur 12 courses lors de l’année inaugurale du MoTec, aux côtés du duo multi-victoire, il y aura le Équipe de course des Broncos, dans lequel, cependant, Lorenzo Zanetti ne devrait pas apparaître, sur le point de passer au Championnat du Monde d’Endurance avec ERC Ducati sur une base permanente. De plus, dans au moins trois manches, la CIV SBK accueillera même le vainqueur de la catégorie SuperStock des 24 Heures du Mans sur la ligne de départ, Le vieux Guillaume, sur la V4-R préparée par LCS Racing Team.
Honda – Trois conseils de qualité
A la veille de 2021 indiquée comme l’une des motos pouvant le plus bénéficier du changement de réglementation, la CBR 1000 RR-R a sans aucun doute fait un pas en avant significatif (voir Alessandro Delbianco), même si le hourra tant convoité qui manque même au 2008 n’est pas venu. Dans l’espoir de dissiper ce tabou, la marque tokyoïte s’appuiera à nouveau en 2022 sur le couple composé de Scuderia Améliorer e donne Luca Vitali, tandis que le Courses DMR est déjà à l’œuvre pour trouver des solutions alternatives aux adieux surprenants de l’AD52, courtisant peut-être un ancien porte-drapeau de Nuova M2. Althea Racing Team a perdu, le Équipe de course Blacksheep déploiement de deux Fireblades via Firenze Motor similaire à la structure de Walter Durigon.
Aprilia – Colpo Delbianco … et Savadori…
Marquant une page d’histoire avec le premier titre de Noale dans le contexte national, cette année le Nouveau M2 Racing il a peiné plus que prévu pour s’adapter à la nouvelle unité de contrôle électronique : la plaque crie, les trois podiums à son actif n’honorent pas l’escadron d’Enzo Chiapello. Il a donc été décidé de rêver grand en vue de la future saison, au point de se mettre d’accord avec nul autre que le vice-champion en exercice. Alexandre Delbianco, incontestablement l’actualité la plus intéressante du moment. Les surprises ne se sont certainement pas arrêtées là à tel point qu’en plus d’être reconfirmées Alex Bernardi, des voix de « paddock radio » parler d’un retour sensationnel de Lorenzo Savadori. Malgré les programmes en cours de définition sur le front MotoGP, l’envie de se remettre dans le jeu du Champion 2020 de la catégorie est palpable et la possibilité de le revoir sur la RSV4 1100 (sinon sur toute la saison 2022, au moins un quelques tours) est très concret.
Yamaha et Kawasaki – Le retour des géants japonais
La saison prochaine, Yamaha et Kawasaki reviendront d’intentions ambitieuses après une courte période d’absence. Prête à monter immédiatement sur le podium au second semestre 2021, la Casa dei Tre Diapason renouvellera avant tout sa confiance à Equipe Keope Motor. Malgré la forte volonté de continuer Niccolò Canepa, grâce à la concomitance inconfortable de septembre avec les 24 Heures du Bol D’Or, parle avec Randy Krummenacher, à la recherche d’un logement prioritaire pour compléter le CEE. Alors que le Suisse aurait le plein soutien de la branche locale d’Iwata, il n’est pas exclu que Stefano Morri puisse confier une deuxième R1 à Canepa pour 3-4 manches afin de favoriser son développement. L’espace aussi équipe Speed Action, prêt à donner un R1 à un jeune du CIV SS600. Situation similaire dans le garage d’Akashi où, en dehors de l’essai de Jerez, le Drapeau noir sport automobile il n’a pas encore émis ses réserves. Avec Kevin Manfredi employé exclusivement dans le rôle de testeur, les indices mènent à Bradley Smith: les négociations sont à un stade avancé, mais des doutes subsistent (continuerez-vous à la fois le MotoE et le CIV ?).
BMW et Suzuki – Rachat recherché
Selon toute vraisemblance le grand inachevé, l’apport de la M1000RR n’a pas conduit aux résultats escomptés, juste un piètre podium et des compétences de vitesse montrées en flashs. La future saison doit donc marquer un tournant. le Équipe de course Guandalini devrait rester fidèle à la super sportive allemande, dans la lignée de la Équipe de course B-Max (cette année avec Gabriele Ruiu), dont l’objectif est toutefois de participer à autant de courses européennes que possible en World Superbike. Tandis que le Équipe de moto et de course automobile envisage de promouvoir à partir du National Trophy 1000 Danièle Zinni, vainqueur du « Projet CIV » (réservé aux pilotes inédits en compétitions italiennes et/ou mondiales avec inscription gratuite au CIV 2022 en récompense). Discours similaire pour Suzuki e Penta Motorsport, soucieux d’oublier bientôt une année 2021 troublée à divers points de vue, s’est cependant terminé en crescendo avec Alex Sgroi. Se gardant en réserve la possibilité d’aligner également une deuxième GSX-R 1000, la collaboration avec la base opérationnelle de Yoshimura reste intacte, il suffit maintenant de trouver… quelques chevaux de plus !
Crédit photo: daniguazzetti.com
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