Liberté Média: la société de médias de masse propriétaire américain de F1. Six longues années durant lesquelles la propriété stars and stripes a tenté de changer les choses. Une empreinte forte pour redéfinir un modèle désormais « archaïque » qui, selon la nouvelle éphorie, n’avait pas peu contribué à l’aplatissement médiatique de la catégorie. En partie, elle a réussi, obtenant d’excellents résultats. Dans d’autres domaines, cependant, les objectifs sont encore loin d’être atteints (Cliquez ici pour plus d’informations)
Au cours des dernières semaines, l’univers de Formule Un a eu une grosse secousse. Un litige né de l’éventuel achat du forfait F1 par un fonds monétaire arabe. Le différend prend forme par l’ingérence publique dans la négociation des Mohamed Ben Sulayemprésident de la Fédération internationale. L’Emirati de 61 ans, en effet, à travers son propre social il a exprimé ses idées avec une position claire.
F1: l’ingérence de Ben Sulayem dans les affaires de Liberty Media
L’intervention de l’ancien pilote de rallye n’a pas plu à Liberty Media. L’opinion s’est ralliée avec une extrême précision à travers Twitter étonné de la position occupée par l’entrepreneur de Dubai. Analyse technique de Formule 1 il a recueilli des informations en reconstituant ce qui s’est passé. Pour continuer la lecture et approfondir les détails du sujet exposé cliquez sur ce lien et accédez au texte dédié.
Auteur et illustration: Alessandro Arcari – @berrageiz