Grâce à l’approbation du Décret Cher Energie, les Ministères du Développement Economique et de la Transition Energétique définiront dans les prochains jours les chiffres du nouvel éco-bonus. Bientôt les incitatifs pour les voitures électriques et hybrides
Enfin, nous y sommes : le incitations à la voiture! Une nouvelle attendue par de nombreux automobilistes et qui intervient après le Conseil des ministres de vendredi dernier, qui s’est réuni pour approuver le projet de loi d’arrêté où le «Fonds unique pluriannuel pour le secteur automobile», anticipée ces derniers jours par le ministre Giorgetti. La mesure, fortement soutenue par le responsable du développement économique, prévoit la création d’un fonds au sein du même département destiné à «favoriser la transition verte, la recherche, la reconversion et la requalification de la filière
secteur automobile, ainsi que pour la reconnaissance des incitations à l’achat de véhicules non polluantsQuand vaut ce fonds ? 1 milliard pour chaque année d’ici 2030.
En attendant la Dpcm
À ce stade, le gouvernement est donc formellement limité à la création du fonds, tandis que les détails de la répartition des ressources entre le soutien à l’industrie et les incitations à l’achat (et à leur tour entre les différentes classes d’émissions des voitures) seront définis dans les 30 jours suivant l’entrée. en vigueur du texte avec une Dpcm dédiée. Selon les dernières rumeurs, il semblerait toutefois qu’un dispositif très proche de l’éco-bonus de ces dernières années finisse par se confirmer. La subvention devrait donc être destinée à ceux qui achètent ou louent une voiture neuve avec différents niveaux d’incitations en fonction des émissions de CO2 et de la présence ou non d’un véhicule à la casse. Le tout avec un niveau de prix maximum.
Le chiffre, basé sur certaines ébauches diffusées, il peut aller d’un minimum de 1 250 € à un maximum de 6 000 €. Parmi les différentes conditions, le conducteur doit conserver la propriété de la voiture neuve pendant au moins 12 mois, sous peine de révocation de la contribution, et tout véhicule mis à la ferraille doit être au nom de la personne ou d’un membre de sa famille pendant au moins 12 mois. Mais les conditions et les chiffres pourraient changer avec la mesure finale.
Apparu en conférence de presse pour commenter le décret, Giorgetti il a également parlé des chips et commenté le lancement des incentives : « Une mesure de politique industrielle très importante pour accompagner le processus de transition qui concerne un secteur fondamental du point de vue manufacturier, tant pour la production directe que connexe. L’intervention publique est importante, mais l’initiative privée est plus importante, donc cela sert surtout à convaincre tous les acteurs de la chaîne d’approvisionnement d’investir et de relever ce défi aux côtés de l’État. L’un est du côté de l’offre, l’autre du côté de la demande. Avec le ministre Cingolani, nous avons l’intention sous peu, avec un décret qui suivra l’attribution, de fournir des incitations à l’achat de voitures respectueuses de l’environnement, pas seulement électriques, car il n’y a pas que de l’électrique, surtout dans cette phase de transition où nous devrons considérer d’autres sources, en particulier l’hybride”.
La mesure fait suite à la promesse faite par Giorgetti lui-même et répond aux appels continus de l’industrie, qui a demandé à plusieurs reprises un type de programme de soutien pluriannuel, comme celui qui vient d’être approuvé. Et de fait, Anfia salue les interventions du Gouvernement : « Le secteur automobile remercie le Premier ministre Mario Draghi, le ministre du Développement économique Giancarlo Giorgetti et l’ensemble du gouvernement pour les mesures sectorielles définies lors du Conseil des ministres d’aujourd’hui. Les ressources allouées par le gouvernement dans le cadre du projet de loi sont le signal que la chaîne industrielle automobile attend depuis longtemps pour faire face à la transition de la production vers la mobilité à très faibles émissions avec plus de conviction et avec les mesures d’accompagnement nécessaires. L’Anfia, représentant les entreprises et les entrepreneurs italiens, reste à la disposition du gouvernement et des ministres compétents pour veiller à ce que les efforts déployés aujourd’hui par le pays puissent atteindre l’amélioration maximale des objectifs de durabilité et de compétitivité”.