Vous souhaitez poursuivre une carrière de transporteur ? Du 1er avril 2022 jusqu’en 2026, une contribution de 80% arrivera pour le nouveau permis de conduire des camions
Le secteur de transporteurs est en crise. C’est vrai, il semble qu’il n’y ait pas assez de chiffres pour couvrir ce noble travail. Après tout, c’est un travail exigeant et difficile. On est constamment loin de chez soi, toujours dans la rue, on dort souvent en cabane… bref, autant de facteurs que les jeunes n’aiment pas. Si l’on ajoute à cela un coût très élevé pour obtenir la licence dédiée, le tableau est complet. Le gouvernement est bien conscient de la situation, c’est pourquoi il a décidé de prendre en charge une partie des frais d’obtention du permis de conduire. En effet, en avril 2022, un nouvel amendement arrivera pour soutenir les futurs camionneurs.
Voucher patenti 2022
La solution identifiée par notre Gouvernement est celle du « bon de permis de conduire ». Parlons d’un intéressant 80% d’apport (jusqu’à un maximum de 2 500 Euros) sur le montant total à payer pour avoir le permis convoité de conduire un véhicule articulé dans votre portefeuille. La modification envisagée dans la loi de finances sera disponible du 1er avril 2022 jusqu’à fin 2026. Un bonus qui compte la beauté de 6 millions d’euros pour la seule 2022, et cinq autres « étalés » jusqu’en 2026. Seul l’arrêté du ministère de l’Infrastructure et de la Mobilité Durable, afin de pouvoir commencer à utiliser l’espace bons de licence.
Amedeo Genedani, président de Confartigianato Trasporti, il l’a commenté comme suit : « Il s’agit d’une mesure essentielle pour permettre le renouvellement des générations dans le secteur, où la pénurie de chauffeurs est dramatique en raison du manque d’attractivité de la profession et des coûts élevés de formation pour l’obtention du permis de conduire. – Genedani continue – Maintenant, il sera important de poursuivre le dialogue fructueux avec le vice-ministre Bellanova pour la mise en œuvre de la règle dans le cadre de la table des conducteurs activé au registre des transports routiers MIMS et de garantir les conditions pour le rétablissement de la dignité et de la compétitivité à la route entreprises de transports.« .
.