Le tremblement de terre qui frappe Red Bull est terrible. Ces dernières heures, les rumeurs de sorties de la maison autrichienne concernent également des pièces de valeur. Adrian Newey, en effet, selon certaines sources faisant autorité, a communiqué à la haute direction de l’équipe championne du monde en titre qu’il ne souhaitait pas renouveler son contrat. L’ingénieur britannique serait en effet en train d’évaluer de nouvelles propositions. Des rumeurs circulent notamment selon lesquelles deux équipes se présenteraient : Aston Martin et Ferrari. Tous deux sont impatients de changer leur destin en Coupe du monde.
Red Bull est dans un champ de mines
Combien d’entre vous ont joué au moins une fois aux champs de mines, en plaçant leurs drapeaux pour désamorcer les bombes ? Eh bien, maintenant Red Bull se retrouve dans la même situation. L’équipe autrichienne ne vit pas un bon moment en interne, comme si l’image qu’elle transmet était presque irréelle. Les accusations portées contre le directeur de l’équipe, Christian Horner, pour avoir envoyé des photos hardcore à un employé ont brisé les murs de l’autorité. L’évasion de nombreux hommes clés est visible par tous et maintenant celle d’Adrian Newey a également été ajoutée.
Son désir de ne pas renouveler était dans l’air et il semble maintenant que l’Anglais l’ait formulé et envoyé au siège de Red Bull. C’est un coup dur pour l’équipe autrichienne car elle perdrait le plus grand ingénieur qui soit. On connaît bien son talent et avec le retour des voitures à effet de sol son génie a donné naissance à des monoplaces extraordinaires. Adrian Newey, s’il devait réellement quitter Red Bull, pourrait également faire la une des journaux sur l’histoire entre l’équipe et Max Verstappen. Le Néerlandais pourrait s’aventurer vers de nouveaux rivages, laissant l’équipe can perdue de toutes ses certitudes.
Aston Martin ou Ferrari ont défini l’avenir d’Adrian Newey
Une rumeur de plus en plus insistante parle d’un Adrian Newey qui pourrait partir chez Aston Martin. Aston a récemment renouvelé le contrat de Fernando Alonso et à partir de 2026, elle sera propulsée par Honda. Pour renforcer encore le partenariat avec l’équipe britannique, la société japonaise a démarré la construction d’une usine sur le sol anglais pour le développement des moteurs. L’équipe dirigée par Lawrence Stroll est sérieuse et c’est pourquoi Newey pourrait être intéressé à y aller. Adrian a toujours déclaré vouloir travailler en Angleterre, pour ne jamais quitter sa famille, un plus pour Aston.
Ferrari est un rêve ou plutôt, l’entreprise italienne est toujours prise en considération. Tout le monde rêve finalement de travailler à Maranello et peut-être Adrian Newey aussi. L’ingénieur d’outre-Manche a eu à plusieurs reprises des commentaires positifs pour Ferrari, mais comme nous l’avons dit, il préfère travailler en Angleterre. La destination dans ce beau pays semble donc très difficile, mais Frédéric Vasseur pourrait trouver une solution. Le directeur de l’équipe suisse pourrait avoir une idée, une idée brillante qui pourrait amener l’homme idéal pour la renaissance à la cour de Ferrari. Le cheval cabré aura Lewis Hamilton comme conducteur à partir de l’année prochaine, mais nous savons tous que pour remporter les championnats du monde, le porte-étendard seul ne suffit pas, il faut aussi les bons hommes derrière lui.
L’avenir d’Adrian Newey reste donc à écrire
La Formule 1 se nourrit de ces rumeurs et compte bien les exploiter. Red Bull est désormais appelé à tout faire pour retenir son témoin, qui semble pourtant vraiment vouloir dire au revoir à l’écurie autrichienne après 18 ans. Adrian Newey, grâce à son génie, a aidé les équipes pour lesquelles il a beaucoup travaillé à gagner. Un rêve mais il restera un rêve, ce serait celui d’un retour aux origines. Un retour à Williams là où tout a commencé, avec pour mission de ramener la maison Grove aux étages supérieurs. Le fait que l’un des plus grands esprits du sport automobile soit sur le point de sortir est une réalité. La chasse à Adrian Newey est officiellement sur le point de commencer.
PHOTO : Formule 1 sociale