Avec des remises allant jusqu’à 40% pour ceux qui achètent des e-scooters et des motos électriques, certains modèles deviennent intéressants. Voici ce qu’ils sont
Les incitations à l’achat de cyclomoteurs et motos électriques ont commencé il y a quelques jours : 20 millions d’euros renouveler la flotte de véhicules à deux roues actuellement en circulation en Italie qui peut être utilisée, jusqu’à épuisement du fonds, par tous ceux qui achètent un scooter ou une moto à zéro émission (mais aussi des trois-roues et des quadricycles), appartenant aux catégories de L1e à L7e. Comme déjà arrivé les années précédentes, l’Ecobonus sera de 30% pour un maximum de 3 000 euros en cas d’achat sans mise au rebut et 40% jusqu’à 4 000 euros pour ceux qui ferraillent des véhicules de l’Euro 0 à l’Euro 3.
La cinquantaine « intelligente »
Ceux qui n’ont pas de besoins particuliers d’autonomie ou de vitesse de pointe pourraient faire une bonne affaire avec le Niu UQi: le « fifty » de la marque chinoise peut se targuer d’une autonomie de 40 km et d’une vitesse de pointe de 45 km/h. Il ne pèse que 57 kg et possède des roues de 12 pouces. Le prix avec les incitations est de 1 583 euros pour ceux qui achètent sans casse et 1.411 euros pour ceux qui bénéficient de la prime complète.
Le charme du classique dans une touche verte
L’engagement du groupe Piaggio en faveur de la mobilité électrique porte désormais sur plusieurs fronts, mais le premier modèle à faire entrer des électrons dans le réservoir était le plus classique : la Vespa. Vespa Elettrica se décline en deux versions, la plus intéressante est certainement la « 70 km/h », avec des performances oscillant entre 50 et 125 cc endothermiques. Elle dispose de 100 km d’autonomie et se recharge sur la prise domestique en 4 heures. Il n’a pas de batteries amovibles comme le Silent ou le Seat Mò, mais il a un charme indéniable. Le prix avec mise au rebut est 4.698 euros, sans toutefois qu’il s’élève à 5 271 euros.
E-scooterone
Directement du futur vient le dernier né de la clé Urban Mobility de BMW Motorrad, le CE-04. Un maxi-scooter aux lignes inégalées et strictement électrique, qui remplace le C-Evolution, dérivé des frères endothermiques. Il a des moteurs de 31 ou 42 CV et est également disponible dans une version affaiblie pour licence A2, une autonomie de 135 et une batterie qui avec le chargeur rapide en option peut atteindre de 0 à 80% en 45 minutes. Ce n’est pas bon marché cependant : celui qui le détruit lui achète un 8.550 euros, 1 000 de plus si un véhicule ancien n’est pas « vendu ».
Motard durable
Les motos supermotard et enduro d’un huitième de litre sont des articles à la mode chez les jeunes de 16 ans passionnés par les moteurs. Peut-être qu’à leur âge il est difficile de renoncer au cri d’un moteur 2 temps et à l’odeur d’essence et d’huile qui se mélangent, mais les plus attentifs à l’environnement peuvent compter sur une alternative. Zéro FXE il s’agit en fait du supermotard de l’entreprise américaine full-électrique, qui peut compter sur une pleine puissance de 44 ch (qui deviennent 15 dans la version 11 kw pour A1 ou B brevetée) et 106 Nm de couple, une autonomie de 161 km et une vitesse de charge inférieure à une heure et demie avec les chargeurs en option. La liste de prix coûte 13 990 euros, mais avec les remises qu’elle peut atteindre 9.990 euros.
Trackday sans émissions
Il n’y a pas que les scooters pendulaires et les motos de performance de compromis pour animer le monde de l’électrique, mais aussi de vrais « maxi » : Harley-Davidson LiveWire, Zero SR-S sont deux exemples qui nous viennent tout droit des States, tandis que chez nous c’est Energica, qui produit les motos les plus performantes parmi celles qui se fixent à la colonne de charge. Le fleuron est le Égo énergétique, avec ses 171 et 200 Nm de couple maxi qui le déclenchent de 0 à 100 km/h en 2,5 secondes et lui permettent d’atteindre les 270 à l’heure. Des émotions fortes, faites pour les gros portefeuilles : on parle de 19.990 euros avec une remise sur la mise au rebut et 20 990 € si non mise au rebut.
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