Valentino Rossi a reçu les clés de Tavullia le 7 septembre dernier des mains de la maire Francesca Paolucci. Un acte nécessaire pour avoir fait connaître la ville dans le monde entier, au point d’en faire une destination touristique recherchée par les fans de MotoGP et même les simples curieux. Malgré tout, les concitoyens ne manquent pas qui ont tenté par tous les moyens de mettre des bâtons dans les roues de ses œuvres, indirectement, mais sans succès.
Affiché contre le ranch et les bannières la table
En 2018, certains voisins du Ranch ont tenté d’arrêter les activités sportives. Selon eux, il s’agissait d’une limitation de la liberté personnelle en raison du bruit excessif et de la poussière soulevée. Mais le TAR n’a constaté aucune irrégularité, puisque les heures de fonctionnement du système ne coïncidaient pas avec les heures consacrées au repos de l’après-midi ou de la nuit. En outre, les contrôles effectués par l’ARPA n’ont révélé aucune violation des limites d’émission, ni constaté aucune violation dans la construction de la structure entre 2009 et 2011, car la zone sur laquelle se trouve le Ranch est passée d’une zone agricole à une zone agricole. un éducatif/scolaire avec une variante du schéma directeur.
Ils ont réessayé en 2021 avec le retrait des banderoles et drapeaux des murailles médiévales, suite à une plainte auprès de la Surintendance. Un acte qui a indigné la grande majorité de la population de Tavullia, très attachée à son favori Valentino Rossi. Les institutions de la ville se sont immédiatement mobilisées et ont récupéré le retour de la bannière au bout de quelques mois, mais cela ne s’arrête pas là…
Valentino Rossi et le Parc Jaune
Ils l’ont également essayé avec le Parc Jaune de via Balducci. Il s’agit du parc à thème inauguré il y a deux ans pour célébrer les 25 ans de son fan club. Les techniciens de la Commune de Tavullia Ambra Sandroni et Lorenzo Ballotta ont été acquittés de l’accusation d’avoir violé, en délivrant les permis, une contrainte environnementale et paysagère qui protège les remparts de la ville.
Comme le rapporte le journal local ‘Il Resto del Carlino’, Stefania Palma, la mère de Valentino Rossi et responsable du bureau des travaux publics, ainsi que la maire Francesca Paolucci ont également comparu devant le tribunal. Les deux témoins de la défense ont réaffirmé qu’aucune autorisation environnementale n’était nécessaire pour la construction du parc à thème.
Photo : Instagram @valeblue46